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Une musique à vivre

Chef monteur. Montage en cours sur Da Vinci Resolve du long-métrage documentaire réalisé par Philippe Tabarly, avec Cyprien N’Tsaï. A ce jour 6 semaines de montage et 1h15 de durée de film.

Au constat d’un désaccord global entre l’humain et son environnement, un jeune guitariste classique international se lance à la recherche d’un mode de vie plus harmonieux. Il décide de partir donner des concerts de village en village à pied avec une ânesse. Son périple lui fait découvrir un monde de vie source d’espérance en ce sens qu’il est générateur d’un flot d’espoir.

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Non au harcèlement

Conception & réalisation vidéo

Avec les élèves de 1ère bac pro vente du Lycée professionnel Leau à Marseille, action menée par le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse pour lutter contre toutes formes de harcèlement entre élèves.

Avec Sandrine Sabatier, professeur documentaliste et Sandrine Loricourt, professeur de mathématiques

Affiche + vidéo de 2 minutes (SCAN MOI) https://vimeo.com/897576258

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Atelier d’écriture d’une mini-série

L’atelier d’écriture que j’ai dirigé tout au long de l’année 2022-2023 vient de se terminer.
Le choix du genre cinématographique s’est porté sur le thriller, le titre : « MAREE BASSE SUR LA DURANCE ».

Une continuité non dialoguée d’une cinquantaine de pages a été écrite, soit 4 épisodes de 45 minutes. Avec et par Gisèle Moreau, Viviane Jouvenot et Philipe Cros.

Le synopsis : Alors que de très fortes chaleurs assèchent depuis plusieurs mois la Durance, de funestes avertissements du passé surgissent des profondeurs. Sur une pierre de la faim, on peut y lire « Si tu me vois, pleure! ». Ce matin là, Bassem, réfugié Syrien, en promenant son chien, découvre un sac contenant un corps fortement décomposé. De qui s’agit-il ? 


Alertés par téléphone, par une voix inconnue, les gendarmes Mattéo et Alban se retrouvent sur les lieux, suivis de Camille, jeune médecin légiste, chabine, fraîchement mutée à ce poste. A la morgue, en examinant le corps attentivement, Camille constate que l’homme est décédé suite à une injection par seringue de bromate dans une des carotides, puis elle découvre un objet appartenant à son propre passé que le tueur a dissimulé volontairement à l’intérieur du corps. Le biceps tatoué d’un scorpion à l’encre noire queue vers le bas, lui permet de reconnaitre celui qui la maltraitait enfant, son beau-père, délinquant violent, qu’elle n’a pas revu depuis de nombreuses années.


Troublée, elle dissimule cette pièce à conviction à Mattéo et à son adjoint Alban, et décide de mener parallèlement sa propre enquête. Elle remonte le cours de son histoire, son passé douloureux, enfant ayant grandi dans la famille d’accueil d’Antonin, jeune procureur et chargé de l’affaire, son père décédé dans un crash de voiture durant sa petite enfance, elle questionne sa mère, Jeanne, aide-soignante à l’hôpital, va petit à petit entrevoir la vérité sur son vrai père. Antonin et Camille vont se rapprocher jusqu’à s’avouer un amour de toujours, jusqu’ici à l’état de non-dit. Alors que Bassem devient le suspect numéro un et se voit contrant de fuir puis de se cacher avec l’aide de Frère Jean, un moine bénédictin du monastère de Ganagobie, un nouveau meurtre atroce est commis dans les collines des Mées. Une femme cette fois-ci, fonctionnaire à la Préfecture. Etranglée puis agenouillée.


Une nouvelle fois, Camille découvre un objet à l’intérieur de la bouche du macchabée, un camée contenant une petite photo d’elle, enfant. Se sentant menacée, Camille perd pied. Elle tente de remonter le fil, découvre que son père avait un frère jumeau, légionnaire au Koweit, soupçonne fortement son père légal qu’elle pense désormais vivant, comme étant le tueur. Cet homme connu dans la région sous le pseudonyme de BTP, à la réputation sulfureuse, dirige une importante entreprise de granulats.  Camille cherche à se confier à Antonin qui la retire de l’affaire sous la pression de Mattéo, persuadé que Camille dissimule des éléments de l’enquête.


Désemparée, Camille rend visite à sa mère qui lui avoue que son père biologique est en réalité le moine bénédictin, frère Jean, lui aussi Antillais. A l’époque, elle lui avait caché sa grossesse et choisi BTP comme père de substitution. Camille se rend seule dans la nuit dans l’entreprise de granulat de BTP pour en avoir le coeur net et confondre celui qu’elle pense être l’assassin. Elle le trouve dans ses bureaux. Leur confrontation est violente et tourne court. Elle se dénoue par la disparition de BTP qui tombe dans le concasseur, en marche, sous les yeux de Camille, d’Antonin et des gendarmes arrivés, prévenus par Bassem. Pour autant le lendemain, le corps de BTP n’est pas retrouvé…

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Rencontre #2 : Une personne autiste – Un animal…

SECOND RECIT de mise en relation de personnes autistes avec les animaux sauvages.

Il conviendra d’amener le spectateur à découvrir ce qui unit le monde de l’autisme et le monde de la faune sauvage, et, par là-même, d’apporter une meilleure compréhension de ces mondes. 

Une personne autiste, un animal sauvage : deux univers « inaccessibles » qui se rencontrent. Grâce à leur capacité à « penser avec leurs yeux », les autistes nous relient au sauvage dont ils sont en quelque sorte les diplomates. Ils nous invitent à regarder et ressentir le sauvage.

Ce second récit participe à la prise de conscience de ce qui unit les humains entre eux et aux autres animaux : la fragilité, la vulnérabilité, la sensorialité et la beauté. Il nous invite à nous reconnecter au vivant avec respect et délicatesse.

Avec la collaboration de l’association La Bourguette-Autisme, de la LPO Paca et le parrainage de Allain Bougrain-Dubourg, président de la LPO France.

Récit n°2 « Théo et les amphibiens » 

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Selfie or not selfie

Atelier photo au collège Saint-Charles (Cavaillon), élèves de 4ème

Depuis l’arrivée des réseaux sociaux, le selfie s’est imposé pour devenir un fait quotidien tout à fait normal. Instagram, réseau social préféré des jeunes compte plus d’un milliard d’utilisateurs et plusieurs millions de photos taguées « selfies ». Le selfie serait-il l’expression d’un narcissisme, une représentation idéale de soi-même, un outil d’intégration, un jeu social ? Une vision artistique véhiculant un message plus important ou au contraire, participerait t’il à l’affaiblissement du lien social ?  Le Selfie permet-il aux artistes de se réapproprier le genre de l’autoportrait tout en se réinscrivant dans la longue tradition des autoportraits en peinture de Frida Kahlo à Van Gogh.

Durant l’atelier, les élèves auront à réfléchir à ces problématiques, aux interactions que permettent les réseaux sociaux grâce aux selfies, puis ils réaliseront plusieurs selfies photo les représentant dans différents contextes, accompagnés d’un court texte, de mots autour de l’intime, du moi et de l’autre du mensonge, du reflet, du double, du « je » comme un autre. Ce travail abordera tous les aspects : la représentation de soi, de son âme, de son corps, de son être avec ses amis, sa famille, ses proches ou seul : preuve que les Selfies bousculent et interrogent l’histoire de la représentation de soi, de l’intime et du monde. Ces selfies et leurs réalisations seront les supports d’une dynamique commune et citoyenne dont la finalité sera une exposition au sein de l’établissement.

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50 ans

A l’occasion des 50 ans de l’association La Bourguette-autisme (1973-2023), ce film revient sur les fondamentaux de l’association. Durée : 4’30

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Rencontre #1 : Une personne autiste – Un animal…

PREMIER RECIT de mise en relation de personnes autistes avec les animaux sauvages.

Il conviendra d’amener le spectateur à découvrir ce qui unit le monde de l’autisme et le monde de la faune sauvage, et, par là-même, d’apporter une meilleure compréhension de ces mondes. 

Une personne autiste, un animal sauvage : deux univers « inaccessibles » qui se rencontrent. Grâce à leur capacité à « penser avec leurs yeux », les autistes nous relient au sauvage dont ils sont en quelque sorte les diplomates. Ils nous invitent à regarder et ressentir le sauvage. Mais les diplomates, ce sont également ces naturalistes de la LPO qui prennent soin des animaux sauvages en respectant leur intériorité et leurs codes, en comprenant leur langage. Ils cultivent une intimité avec le monde animal, tissent chaque jour une relation et nous invitent à prendre soin des animaux sauvages sans les apprivoiser.

Ce premier récit participe à la prise de conscience de ce qui unit les humains entre eux et aux autres animaux : la fragilité, la vulnérabilité, la sensorialité et la beauté et nous invitent à nous reconnecter au vivant avec respect et délicatesse.

Avec la collaboration de la LPO Paca, l’association La Bourguette-Autisme et le parrainage de Allain Bougrain-Dubourg, président de la LPO France

Récit n°1 « Benjamin et le Grand-duc » 

https://vimeo.com/804929413

Le prochain récit :

  • Théo et un amphibien lors d’une soirée de migration

Ces récits esquissent un monde où nous vivons « en bonne intelligence avec ce qui, en nous et hors de nous, ne veut pas être domestiqué »

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12 minutes

Projet réalisé lors d’un séjour intra muros, avec les résidents du Grand Réal (association La Bourguette-autisme)

Le film raconte l’histoire d’un homme blessé accidentellement lors d’une battue, qui s’allonge au pied d’un arbre, se remémore un repas avec ses amis puis des fragments de sa vie, avant de s’éteindre et d’être emporté par l’esprit de la forêt. Ci-joint quelques photos backstage du tournage.

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Etang de Berre, Etang de mer

Projet de film documentaire en cours – L’étang de Berre. Une petite mer intérieure, sacrifiée à l’industrie. Depuis la fin des années 80, les associations écologistes, la coordination des pêcheurs, les communes du pourtour de l’étang ont engagé des actions en justice contre l’État. Elles se battent pour la santé de l’étang qui fut choisi comme embouchure du canal usinier EDF.
A travers la chronique des protagonistes de la défense de l’étang, le film revient sur la reconquête de l’étang de Berre et ses enjeux, à l’heure où le bilan des méfaits des activités industrielles sur la nature, fait craindre que la vie y disparaisse.

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Silae

Interviews et prises de vue au siège social à Aix-en-Provence

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Nourrir l’effort

Les jeunes volleyeuses de l’équipe espoir du Creps et Lolassonn, lanceur de disque professionnel nous parlent de leur alimentation, durant les semaines précédant les épreuves, pendant les épreuves et après celles-ci, lors des phases de récupération.

Durée : 6’16

  • L’alimentation répond à une véritable stratégie nutritionnelle, développée tant dans la vie quotidienne, qu’à l’entraînement que lors de la compétition.
  • Elle a sans conteste un effet bénéfique sur la santé et représente l’un des moyens pour parvenir à une amélioration des performances.
  • Elle mérite donc un suivi régulier bien avant la compétition. Quels sont les critères quantitatifs, d’apports énergétiques nécessaires ? Selon les différentes pratiques ? Les règles de base ? Les protéines ?

Ce film a été réalisé dans le cadre de la formation « Réaliser son premier reportage » chez Terkane.
terkane.com/catalog/realiser-son-premier-reportage-tv

Formateur : Jean-Pierre LENOIR scénariste réalisateur

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Le Chant des Dauphins

Le Chant des Dauphins est une association qui permet à des personnes autistes, de partager le temps d’une journée en voilier au large d’Antibes, des moments forts de découverte, de rencontre et d’échange autour du thème de la faune marine en Méditerranée.

Ce film a été réalisé dans le cadre de la formation « Réaliser son premier reportage » chez Terkane.

terkane.com/catalog/realiser-son-premier-reportage-tv

Formateur: Jean-Pierre LENOIR scénariste réalisateur

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Ateliers de pratique artistique

  • Des ateliers de pratique artistique parcourent ou sont le point départ de plusieurs films. On y apprend à passer du « je » au « jeu », à exprimer ses émotions. Travail de clown, de construction de personnage, de scènes du quotidien transposées dans l’imaginaire… Mise à distance de soi afin d’exister, d’être en harmonie avec les autres, d’aller au-delà de ses blocages, de ses propres habitudes, et de ses peurs.
  • La caméra devient une passerelle vers l’autre. Elle rassemble la personne là où elle est morcelée, le temps d’un plan, d’une scène. Etre filmé permet de retrouver une estime de soi-même, offre la possibilité de sortir de l’inhibition, d’oser dire avec le corps ce que la parole ne peut souffler… Elle ouvre la personne à une rencontre consciente et intuitive avec elle-même et son histoire. Filmer devient une tentative de voir plus loin que ce qui est montré. « Derrière l’image »… Une personne. Et d’amener le spectateur à regarder cette personne autrement.
  • Le cinéma comme l’évoquait Fernand Deligny permet de mettre des images sur ce qui n’a pas de mot. Il est le plus bel art pour créer du partage.
Aldric